Un de mes camarades me demande si je souhaite l’accompagner séance tenante à une cérémonie. Je comprends qu’elle est liée à une nouvelle victime des attaques de l’armée turque et répond par l’affirmative. Craindre le début d’une guerre a quelque chose de décidément bien paradoxal lorsque l’ennemi assassine de manière quotidienne.