Hommage à Michel Antaki
A la façon des cent mille milliards de poèmes de notre Raymond Queneau, l’on pourrait composer cent mille milliards d’hommages
A la façon des cent mille milliards de poèmes de notre Raymond Queneau, l’on pourrait composer cent mille milliards d’hommages
Selon la formule consacrée, Michel Antaki nous aurait quitté le 14 juin dernier. Lors de ses funérailles, il a été rappelé, fort judicieusement, combien le rôle que celui-ci a su endosser à merveille durant plusieurs dizaines d’années pouvait faire penser à celui du trickster, ce farceur capable d’apporter du réalisme aux mythes et d’offrir un contrepoint non seulement aux dieux mais également aux héros culturels. Et nous avons envie de penser que l’esprit du trickster est de toute manière fait pour nous hanter. À ce titre, il ne saurait jamais nous quitter.
Notre Wallifornienne internationale est allée sur les traces du père du look cuir-moustache au cœur de la capitale finlandaise.
Oubliez les jeunes actrices débarquant à Los Angeles pour devenir des stars (et finir serveuses, selon la légende). Le nouvel Eldorado de l’audiovisuel se situe à New York City avec une mention spéciale pour les séries TV. Nous avons rencontré Mathias, parti goûter une part du gâteau.
Article bonus en contrechamp du dossier « Femmes d’aujourd’hui » de C4 (n°218), on y parle de la place des hommes dans
Aujourd’hui professeur émérite, Jean-Marie Klinkenberg a longtemps enseigné à l’université de Liège les sciences du langage, la sémiotique et la
Lorsqu’on évoque l’Espagne, trois clichés viennent en tête : la paella, le flamenco et la corrida. Étant espagnole, ces trois