« Today is the greatest… Day I’ve ever known… Can’t live for tomorrow… Tomorrow’s much too long… I’ll burn my eyes out… Before I get… out I wanted more… Than life could ever grant me… Bored by the chore… Of saving face » (The Smashing Pumpkins)
Voilà, nous y sommes, le 22 novembre 2012, le jour où Liège va savoir si le Bureau International des Expositions lui confiera la mission de « Connecter le Monde pour rapprocher les Hommes ». Ou pas.
Pour la cité ardente, qui sert de base arrière à la rédaction de l’Entonnoir, cette décision implique des enjeux importants — d’une manière ou d’une autre. Par l’Expo 2017, rappelons-le, passe un projet de société, un plan de redéploiement de la ville, une certaine idée de ce que devrait être une métropole, de ce qu’on pourrait y faire, des comportements qui ne devraient pas s’y perpétrer au début du 21ème siècle. Ou pas.
Aujourd’hui, c’est le grand jour, celui où Liège aura la certitude de pouvoir redorer son image auprès de l’Europe, voire même du Monde. Aujourd’hui, c’est le plus grand jour que Liège aie connu, depuis longtemps. Ou pas.