L’intéressant avec la situation créée par le vote italien, c’est qu’elle semble ne pouvoir être analysée que par deux plumes différentes, adoptant deux points de vue différents. Comme si les deux personnages de l’histoire (la politique « traditionnelle », avec ses jeux d’alliances et de débauchages, et le mouvement Grillo, avec ses principes) étaient radicalement « non mélangeables »; comme si un même narrateur était définitivement, dans l’incapacité de penser, et de raconter les deux à la fois, la vieille politique et le mouvement Grillo.

via Arretsurimages